Les champs morphiques
On les appelle aussi egregors (avec sou sans accents). Ils pourraient être définis comme des nuages de pensées communes. Leur puissance peut-être énormes, à tel point qu'on ne peut parfois les quitter qu'au péril de notre vie.
L'egregor familial : on imagine celui des grandes familles anciennes, avec ses intrigues, ses secrets, son code d'honneur. Pourtant, il faut bien penser que rien de tout cela n'a disparu avec la mort de nos ancêtres, de quelque niveau social qu'ils aient été. La loyauté familiale est toujours présente. Le code d'honneur est imprégné en nous et influence notre comportement.
Les egregors sociaux: c'est celui du village, de l'équipe de sport, du milieu culturel, de la nation... comme autant de systèmes de pensées qui nous freinent et nous empêchent de penser librement.
L'egregor religieux: il est un des plus puissants car il agit à tous les niveaux de notre être. Il est fait de quelques croyances extrêmement fortes que l'on n'a souvent jamais envisagé de remettre en cause: le bien et le mal, la sainteté, la paradis perdu..., même si d'autres traductions de nos grands Livres Saints, d'autres interprétations ont vu le jour. Il faut un véritable nettoyage du corps pour en effecer l'empreinte.
Il existe encore quelques egregors très puissants qui ne seront pas mentionnés ici. N'oublions pas que le mot est porteur d'énergie. Ne pas mentionner, c'est ne pas donner corps, de poids, à ce qui en a déjà bien assez.
Il me semble évident que tout n'est pas à jeter. Il faut cependant savoir que cela existe, et que notre comportement est dicté en partie par tous ces nuages de pensées auxquels nous participons. Aussi, lorsque nous n'arrivons pas à nous débarrasser d'un paradigme, lorsque nous ne comprenons pas pourquoi nous agissons toujours de la même façon, et que nos investigations personnelles n'ont rien donné, pensons à ces champs morphiques et étudions la façon de desserrer leur étreinte.